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Histoire
Hermann von Bisshoffein est né dans l’ouest de la Baronnie de
Heilgrund, peu avant le début de la Guerre. Le territoire familial étant
excentré et riche de ses seules mines de fer, il connu un calme relatif durant
de nombreuses année, ainsi qu’un richesse raisonnable, du fait des nombreux
besoin du Furst en minerai. Le risque d’invasion ne se présenta qu’une
seule fois, lors du passage de l’armée de Stéphano Wulf. Le Baron Heilgund,
père de l’actuel Stephan III, amena alors une troupe massive pour bloquer les
objectionnistes. Mais le « Wily Vendel » ne livra pas combat,
passant de nuit à marche forcée à travers le territoire, vers les armées
objectionnistes du sud. Au bout de quelque mois, l’armée vaticine partit également,
sans qu’une bataille n’ai été livrée.
Hermann lui même fut entraîné aux armes dès son plus jeune âge par
son père, Wilhem von Bishoffein trop conscient de cette nécessité, mais
priant Thèus chaque jour pour ne pas être obkigé d’envoyer son fils à la
Guerre. Hermann fut élevé dans un profond respect de Théus et de l’Eglise
Vaticine. A douze ans, il fut envoyé à la fameuse Kippe Academy de Tannen, qui
put à la fois lui prodiguer le meilleurs enseignement martial d’Eisen,
c’est à dire probablement le meilleur du monde, et le protéger de la guerre
en cours, vu la réputation de l’endroit. Durant ces années, et sans qu’il
le sache, il fut approchés par les membres des Die Kreuzritter, mais
l’affaire n’eut pas de suite : modéré mais convaincu de sa bonne foi,
Hermann ne voit aucune raison d’agir dans le secret.
Quand il revient à 18 ans, c’est un jeune homme d’un grand talent
martial, mais surtout d’une volonté sans faille. S’il souhaite de tout son
cœur la victoires des armées Vaticines et de Riefenstahl, il espère surtout
voir la fin de la guerre sans être obligé de tuer. Les années à Kippe et ses
nombreuse conversation avec son confesseur castillan Diego Vargelos l’on rendu
prêt à se battre pour défendre ce en quoi il croit, mais avec un grand souci
de ne pas causer plus de mal qu’il n’en faut. Hermann s’occupe de la sécurité
du domaine, attendant son inévitable convocation pour les armées. Mais il en
reçut une toute autre, et fut envoyé comme garde du corps de plusieurs
dignitaires ecclésiastiques, sur recommandation de Vargelos et de ses maîtres
de Tannen. Durant plusieurs années, il accompagne les évêques, envoyés ou
biens précieux de l’Eglise, se faisant une solide réputation de Chevalier
Servant.
Au début des années 1660, des bandes de mercenaires désœuvrés
commencent à ravager Eisen. Hermann revient dans le territoire, et organise la
défense, vainquant à trois reprise des bandes armées, sans lourde pertes. La
fin de la guerre semble proche, et Bischoffein dispose du sort envieux d’épargné…
Jusqu’à l’intervention montaginoise.
Officiellement, Montaigne vient soutenir l’Eglise Vaticine. Leur délégation
arrive peu après sur le territoire familial, et est reçue avec une courtoisie
glaciale. Le soir de la réception officielle, Hermann est retenu dans le
domaine par de multiples problèmes. Quand il rentre, il entend de nombreux
bruits inhabituelle dans la demeure. Le temps d’entrer, il aperçoit son père
et Vargelos en dispute avec Norbert de Alleux, l’envoyé de Montaigne.
Celui-ci s’énerve devant le refus des Eisenor d’accueillir des troupes
montaginoises risquant plus d’envenimer les choses que de faire quelque bien
que ce soit. De Alleux les narguent alors, annonçant que ce territoire lui est
de toute façon promis. Accusé d’insulte envers Théus par le Castillan, il
part d’un grand rire, puis annonce que les termes devraient êtres conclu à
l’heure qu’il est, et qu’un messager ne va plus tarder. Il regarde
attentivement le Castillan, alors que celui-ci scrute intensément un étrange
cercle de lumière bleutée au milieu de la pièce. Peu après surgit un
montaginois, les mains ensanglantée portant un message scellé.
Vargelos comme Hermann est horrifié, et demande au vieux Graf de les arrêter
et de les livrer à l’Eglise. Quand Wilhem se prépare à donner ses ordre, de
Alleux sort vivement son arme. « Je vous conseillerai d’être plus
respectueux envers votre seigneur, vieillard. ». L’instant d’après démarre
une furieuse mêlée. Les deux Eisenors sont bien entraîné, mais de Alleux
aussi, et quatre de ses hommes d’armes le rejoignent rapidement. Le combat est
rapide et mortel. Hermann, bloqué par deux hommes, assiste impuissant à la défaite
inexorable de son père. Quand le dernier de ses adversaire tombe, de Alleux
vient de percer profondément le vêtement de cuir du vieux Graf. Il se tourne
alors lentement, sourit à Hermann, et disparaît dans un éclair bleu ne
laissant qu’une voix distante « Vous me payerez ça… »
environnée d’hurlements inhumains.
« Il faut partir ». Hermann se retourne pour se retrouver
face à Vargelos. « Les montaginois sont plus nombreux, et ce monstre va
revenir, et s’en prendre à vous aussi. Partez tant qu’il en est encore
temps, je les retiendrais, qui oserai s’en prendre à un homme d’Eglise ?
Voici l’adresse de mon frère à San Cristobal. Allez le voir de ma part ».
Horrifié par la scène, Hermann obéit. Dans un coin de son oreille résonne
encore d’horrible cris, semblant provenir du portail ouvert par de Alleux. Le
terme de monstre utilisé par Vargelos ne semble pas exagéré.
Quand il arrive en Castille, son territoire est officiellement passé
sous contrôle montaginois. Hermann à longuement réfléchi en route à son
Eglise, son pays, aux actes et paroles de De Alleux. Accueilli par Marcelo
Vargelos, il lui expliques ses craintes et ses souhaits. Après une nuit de
palabres, il prend sa décision. Pour les siens, pour que ce qui est arrivé à
son père n’arrive plus, pour son pays, Hermann est prêt à tenter
l’impossible : en finir avec la sorcellerie en Eisen. A nouveau, les
enseignement de son confesseurs lui sont d’une grande utilité. Hermann veut
par dessus tout les ramener vers Théus. Mais il se doute que ce ne sera pas
possible pour tous.
Deux ans plus tard, le Chevalier Inquisiteur Hermann reprend sa lourde
armure et un simple cheval, et repart vers Eisen avec dans un étui les noms de
deux sorciers reconnus. Lui qui à toujours pensé mettre son épée au service
de son Eglise n’aurait pas cru qu’elle serait si cruellement nécessaire.
Durant ses nombreuses missions, il fut contraint comme tout soldat à tuer, même
s’il ne le fit jamais qu’en dernier ressort. Et le souvenir de De Alleux le
hante. CaractèreDécidé, Tolérant, Direct,
Organisé, Calme RelationsNoblesse de Heilgrund Eglise Vaticine Inquisition |