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Le Prince Alinni en est a ses premiers ordres quand se présente un
visiteur impromptu. Ronaldo Garibaldi vient s’assurer des bons intérêts de
son Prince, félicitant Alinni pour son intelligence, sur que cela lui vaudra
une bonne place, celle de Gouverneur, peut-être. Les deux hommes se jaugent
lentement, avant que le Prince ne renvoie Ronaldo. Au port, sur l’ordre de
Rabenstein, un curieux drapeau à été dressé, sorti de la malle où il
dormait depuis longtemps. La nouvelle se répand à la vitesse de l’éclaire :
L’épidémie Blanche est tombée sur la ville, et aucun bateau ne peut en
partir ou y venir tant qu’il sera dressé. Garibaldi salue l’intelligence du
Prince, qui vient de gagner un temps précieux, avant de se jouer des garde pour
retrouver son vaisseau et quitter l’île. Dans moins de deux jours, un Prince
Villanova lésé retrouvera ce qui lui appartient de droit, de gré ou de force.
Alinni devra apprendre que le Vodacce n’a pas de place pour les faible, et en
le laissant partir, le chandeleur à fait preuve de faiblesse.
Mais un autre messager est parti, vers l’île des Bernouillis, quérir
un soutient bien nécessaire. Trois jours plus tard, l’île est entourée de
vaisseaux de la famille Villanova, quand arrive un bateau transportant un des
proche cousins de Gespucci Bernoulli. Peu après, ce sont des délégations de
tout Vodacce qui arrivent : pour saluer la fin de l’Epidémie Blanche, le
Prince Alinni a invité l’élite de la république, en ce compris Villanova,
bien sur. Garibaldi peste. Le coup de force n’est plus possible avec un
Bernoulli dans l’île. Tout n’est pas fini, bien au contraire. Le Prince Carmélio Alinni vient de faire une entrée remarquée dans le Grand Jeu. |